J’ai demandé à un ami de profiter de mon selfbondage pour.....

Catégories : Selfbondage auto bondage Femmes soumises sexuelles
il y a 9 mois

Cher Jack,

Je n’ai pas envie de faire l’amour avec toi, tu n’es pas mon genre du tout mais tu es un ami, un vrai de vrai. Comme tu es un ami et que l’on se fait des confidences, je sais que peux te faire confiance à 100 %, jamais tu ne me voleras, jamais tu ne me feras du mal. Je vais tout te dire et t’expliquer mais jamais au grand jamais du ne devra trahir mon secret.

Voilà, j’aime faire du selfbondage, m’attacher toute seule. Cela m’amuse, m’excite, me fait jouir et je n’ai jamais de déception, hormis quand je me loupe dans mes scénarios. Mon fantasme est que quelqu’un entre, me v i o l e ou s’amuse avec moi ou les deux avant de repartir, ni vu ni connu. Je ne dois pas voir qui est cette personne et je ne veux pas savoir qui elle est ou qui ils sont.

Pour ma sécurité, tu seras le seul à savoir et, pour réaliser mon fantasme, je mettrait la clé sous le paillasson. Ainsi, la personne pourra entrer sans rien casser. Je veux être sûre que la personne ne me fera pas de mal en vrai et utilisera un préservatif. Je préfèrerai que cela ne soit pas toi qui me v i o l e car j’ai trop peur que cela casse notre amitié mais si tu ne trouves personne, je l’accepterai. Essaye de faire en sorte que je ne te reconnaisse pas.

La semaine prochaine, je m’attacherai tous les soirs, et tous les soirs, une clé sera cachée sous le paillasson. Mes selfbondages dure 4 heures car je les fais avec la serrure de glace d’ABCplaisir qui est ultra sécurisée. En règle générale, je m’attache vers 21 heures et, grâce à mon dispositif d’auto libération, je retrouve la liberté vers une heure du matin. Il faudra que tu choisisses un soir dans la semaine, je ne veux pas savoir lequel. Es-tu d’accord pour m’aider à réaliser mon fantasme ?

Si tu n’es pas d’accord, jette cet email et ne m’en parle jamais. Si tu es d’accord, respectes à la lettre mes consignes et ne m’en reparle jamais. Je ne veux vivre cela qu’une fois.

Ton amie Lydia

......................

Voilà l’email que j’ai adressé à Jack, un véritable ami depuis l’école primaire. Lorsque j’ai adressé cet email, j’étais un peu bourrée, beaucoup excitée et donc en plein délire. ET le lendemain, j’étais m o r t e de honte ! ! ! !

Malgré l’immense honte, je savais que je pouvais lui faire une totale confiance. Ne pas savoir s’il le ferai ou pas créait une certaine tension se reportant entre les cuisses de la folle, s’imaginant évidement, des scénarios possibles dans ses rêves érotiques.

Ne sachant pas si pour lui, « la semaine prochaine » signifiait à partir de dimanche ou lundi, j’ai commencé à m’attacher le dimanche soir avec la peur au ventre. Après ma douche, j’ai fixé la serrure de glace à la chaîne qui est en permanence à la tête de mon lit et j’y ai fixées les menottes. Après m’être allongée sur le dos, j’ai attaché mes chevilles pour être obligée de garder les jambes écartées. Pour être sûre de ne jamais tricher, quand je mets ma cagoule d’isolation BDSM, j’ajoute un petit cadenas m’interdisant d’essayer de la retirer, si je m’attache mal les jambes par exemple.

Pour le plaisir, je place un magic wand dans ma culotte, réglé au minimum pour ne pas mourir de plaisir puis, un plug anal plus ou moins gros. Des fois, je mets aussi des pinces à sein gentilles sur mes tétons ou les vibrantes, cela dépend des fois, de mes envies ou de mes folies.

Le dimanche soir, autant dire que j’avais aussi peur que j’étais excitée. Sous la cagoule, je guettais tous les bruits. Et puis mon esprits s’est mis à gambader sur des choses très coquines, comme l’idée qu’il débarque avec cinq ou six copains. Oui je suis une vraie « salope » dans mes fantasmes mais, uniquement dans mes fantasmes, pour preuve, à trente ans, je n’ai eu que trois amants. Je n’ai joui que deux fois ce soir là, j’étais à la fois déçue et contente qu’il ne soit pas venue ou qu’il n’est envoyé personne.

Le lundi soir, j’ai refait le même scénario mais en mettant les pinces à sein en plus et le magic plus fort. La folle a joui plusieurs fois et a eu mal aux tétons toute la journée du lendemain, même en mettant du coton en plus dans son soutien-gorge.

Le mardi soir, j’ai décidé de changer de position pour varier un peu, puis parce que j’avais un peut trop tiré sur les muscles et tendons de mes bras. Deux fois quatre heures avec les bras tendus au dessus de la tête cela finit par faire mal. Pour me rendre très accessible et incapable de me soustraire au méchant « cambrioleur », j’ai mis mon traversin plus celui de la chambre d’amis en travers du lit juste au milieu. Dessus j’ai ajouté les oreillers et, quand je me suis allongée dessus pour voir, j’ai constaté que mes fesses étaient vraiment très offertes.....

Après quelques réglages pour mes jambes devant restées bien écartées, j’ai remis ma cagoule d’isolation BDSM avec le bâillon bouche ouverte pour m’interdire d’essayer de refuser quoi que ce soit, au moins en paroles. A 21 heures, mon gros rosebud en bonne place, j’ai donc refermé mes menottes qui, je le rappelle, étaient bloquées à la serrure de glace. Pour le plaisir, j’avais coincé le magic wand massager entre deux oreillers et je devais bouger un peu quand il s’y enfonçait de trop. GRRRR ! Bon d’accord, j’avoue que je bougeais aussi les fesses pour jouer avec le gros rosebud.

Lorsque j’ai entendu du bruit, j’ai pris peur avec une horrible question : « et si ce n’était pas Jack ou quelqu’un de confiance qu’il m’aurait envoyée » ? Lorsque le lit a bougé, j’étais tétanisée et plus excitée du tout. Une mains a caressé mes fesses puis les a claquées. AIE, ça ce n’était pas prévu ! Elle a plongé entre mes cuisses et découvert le magic, ou elle l’a entendu et l’a retiré avant de vérifier l’état d’excitation de la « salope ». J’ai vécu la visite intime de ses doigts comme une intrusion. Dans ma tête, mes fantasmes, la personne me baisait et partait, elle ne jouait pas avec moi comme ça. Elle a fait pire !

Après avoir farfouillé en moi, elle m’a fessée. Rougir mes fesses devait l’exciter car cela a duré un long moment. Cela me perturbait au début et finalement..... a commencé à m’exciter un peu, car les claques se répercutaient sur mon rosebud. Le rustre l’a retiré sans trop de ménagement me laissant entrevoir qu’il pourrait être intéressé par cette voie, chose que je n’avais pas imaginée non plus. Le lit a bougé puis pendant un instant, il ne c’est rien passé. J’imaginais à juste titre, que le sauvage se mettait à l’aise. Effectivement, quand le lit a recommencé à bouger, à l’intérieur de mes cuisses ce sont les siennes nues que j’ai senties.

Après avoir un peu fouillé du gland, il m’a prise cash sans ménagement. Heureusement que je m’étais excitée avant car il n’avait pas cherché à faire venir la lubrification naturelle.... Allongé sur mon dos, en m’écrasant littéralement sous son poids, le rustre profitait de l’opportunité qui lui était offerte, pendant que ses mains, essayaient d’attr a p e r mes seins pour jouer avec. Quand il a attrapé mes tétons, j’ai regretté (au début) d’avoir joué avec les pinces à sein la veille. au fur et à mesure qu’il me possédait, cette douleur est devenue agréable. Il a accéléré ses mouvements en moi, ses coups de reins devenaient plus puissants et j’ai décollé pour la première fois en faisant l’amour. L’amour façon de parler et aussi je n’avais jamais joui pendant une pénétration.

Cela m’a fait tout drôle, j’avais l’impression de mieux m’ouvrir à son membre que je voulais encore longtemps en moi tant c’était bon. Je tirais sur mes menottes comme une folle à m’en marquer les poignets quand il m’a possédée comme un malade pour prendre son plaisir. J’ai encore joui à en perdre la raison, puisque je me suis plu à imaginer qu’ils étaient une dizaine à vouloir me prendre. Il s’est bloqué le plus profondément possible logé en moi en se cambrant, pour prendre son plaisir à j’ai à peine senti, avant de s’affaler sur mon dos.

Quand il s’est retiré, j’ai eu comme un réel sentiment de vide. Je ne parle pas de mon sexe mais bien de ma tête. Quelques instant plus tard, le lit a encore bougé, c’est là que j’ai compris qu’ils étaient au moins deux à la façon dont le mec se plaçait. J’ai eu soudain un sentiment de honte et de joie, j’allais encore y passer et j’en avais envie. Il n’a pas eu besoin de chercher la faille, elle était déjà ouverte et ruisselante de plaisir. Je n’ai pas tardé à remonter dans les tours sous ses assauts et, juste après une grande jouissance, dans le bouillard j’ai senti qu’il écartait mes fesses.

Avant même que je réagisse son gland était posé sur mon anus et poussait. Il était trop tard pour les serrer pour lui faire comprendre que je n’avais pas envie d’être prise par là. Alors j’ai fait comme quand je me mets un gros plug, j’ai poussé des fesses pour faciliter le passage. Ma première impression a été OUFFFFFF car il était bien monté et cela me faisait mal. Par chance, il s’est allongé sur moi et a commencé à me prendre doucement. Je me sentais envahie, pleine, et, quand il a commencé à accélérer, j’ai vraiment eu l’impression d’être possédée corps et âme. Si j’avais déjà testé la sodomie sans réel plaisir, là c’était différent.

Il est possible que ce soit le fait que j’étais entravée qui m’ait fait aimer cette impression de possession totale. Mon plaisir est devenu abyssal, je n’étais plus qu’un orifice savourant d’être pris. Tous mes neurones étaient concentrés sur ça, c’était comme si ma tête avait changé de place. Mon cerveau s’extasiait tant qu’il a fini par se déconnecter. Il s’est reconnecté quand l’homme s’est retiré, quand j’ai senti mon anus se contacter et se décontracter tout seul sans aucune sollicitation. J’ai découvert qu’on pouvait jouir par là. Ruisselante de sueur dans ma cagoule, je manquais d’air, je paniquais un peu alors que je suis habituée à elle.

Comme convenu avec Jack, ils sont partis et m’ont laissée en plan. J’ai repris mon souffle lentement en contrôlant ma respiration et, étalée comme une crêpe, je me suis endormie, heureuse, comblée, sans honte. Quand je me suis réveillée, il était cinq heures du matin, la serrure de glace s’était décrochée et je ne l’avais même pas sentie. Toute fourbue je me suis détachée et je n’ai pas eu le courage d’aller prendre une douche. Je n’ai jamais autant détesté mon réveil.

La douche s’imposait, j’avais une tête de déterrée. Heureusement que ma cafetière est programmable ! Je ne sais pas si j’aurai pu me faire un café, c’est dire l’état dans lequel j’étais. Un sentiment de honte m’a traversée mais je ne regrettais pas de l’avoir fait une fois.

Mon problème actuel ? J’ai envie de recommencer !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

La serrure de glace et les menottes sont ici

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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un bien jolie récit
Très jolie histoire, merci.
Ah ce fantasme du viol chez certaines femmes ! Très belle histoire que nous conte encore une fois TSM. Bien écrite, fluide et bien excitante malgré tout ! :D
Merci TSM pour votre partage, j'ai beaucoup aimé cette fiction.
Fantasme qui doit certainement exister chez les femmes les plus prudes, paraissant sages mais pas si sages que ça...
beau fantasme
très beau récit.
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